Cory Wong & Dirty Loops – Turbo (2021)

L’avis de Alain

Funk

Cory Wong est juste magique

Entrez Cory Wong sur Youtube et c’est parti pour des heures de bonheur.

Une fois de plus, Alain a été ratrappé par son démon intérieur et te tend un piège. Pour tomber dedans, on te donne rendez-vous sur ta plateforme d’écoute préférée pour écouter cet épisode directement par tes oreilles !

L’avis de Kante

Je suis à la maison, je prépare cet épisode, Flo fait ses trucs, et Lili fait les siens, mais plus loin.
Je lance l’album de Cory Wong.

Flo : « C’est le cousin blanc de Michael Jackson ? »
[Je mets Thriller]
Flo encore : « Mouahahahahahahaha »

Fin de la blague.

Non, je dis non.

Tout du long, j’ai l’impression d’être dans un épisode de Beverly Hills 90210, et ça, je ne peux pas. Je ne suis ni Steve, ni David, ni Brandon, et même pas Dylan.

C’est même encore pire. J’ai l’impression d’écouter la cassette offerte avec l’autoradio. Vous savez, ces cassettes avec plein de tubes du moment (oui, en 1990, on disait encore « Tube »), mais pour ne pas payer les droits, ou tout du moins en payer moins, les morceaux étaient rejoués par des inconnus. Ben voilà. C’est presque ça, mais c’est pas tout a fait ça.

Après, le mec, il assure, c’est une bête, tout ce qu’on veut, mais là, j’en peu plus. Achevez-le.

Et donc ? Alain ? La prochaine fois ? Un bon album ? Essaye, hein, tu verras, c’est pas mal.

L’avis de Whitney

L’avis de George

Premier titre, Follow the light, premières notes, directement je m’apprête à vivre l’enfer. Ca devient du masochisme de chercher à se faire défoncer à tout prix.

Qu’est-ce que c’est que cette merde ?

Ca ressemble à une parodie de mashup entre les Jackson Five et Bananarama ? Banana Five ?

On fait encore des trucs pareils en 2021 ?

4 minutes de douleur intense avant de passer au second à Turbo. Bon, déjà, là ils la ferment. Et c’est déjà beaucoup mieux. Même si ça ne me parle pas, je commence à comprendre pourquoi on peut aimer ça. Il y a un bon petit rythme funk sur lequel n’aurait pas craché ce bon Huggy les bons tuyaux. Mention spéciale pour la batterie qui donnerait presqu’envie à un black metalleux dans l’âme de remuer des épaules.

Mention aussi pour Hardtop et sa démonstration de guitare vers les 2 minutes qui surgit de nulle part pour enflammer le titre.

Et puis, la cover de thriller qui confirme que je ne racontais pas que des conneries concernant Follow the light. Les covers, c’est souvent un exercice difficile, surtout quand on s’attaque à des tubes interplanétaires.  La reprise n’est pas désagréable, même si elle n’amène pas grand-chose au schmilblick.

Est-ce que je réécouterai cet album ? Non. Fut-ce une expérience désagréable pour autant ? Non plus.

L’avis de Bobby

Putain putain putain putain PUTAIN Alain ! ALAIN !
C’est le pire album que tu nous ai proposé. Putain !

Je sais je dis ça à chaque fois putain mais là c’est vraiment vrai putain, enfin jusqu’au prochain evidemment ! Putain !
Putain ! Ça va trop vite, c’est epuisant.

Et putain putain putain PUTAIN cette basse slappée, ça devrait etre interdit par ce putain d’ONU au même niveau que ces putains des mines anti personnels.

C’est encore pire que du putain de ska ! Putain !

Les putain de musicos n’ont aucun sens de putain de groove, c’est gras putain, c’est demonstratif putain, y pas de subtilité putain !

Putain ça ma mis les nerfs !

Putainputainputainputainputainputainputainputain !