Écouter l’épisode
Entre le big-bang et le rachat de Quick par Burger King, est advenu un événement de la plus haute importance. Aux confluents de la Meuse de l’Ourthe, de l’amblève et de toutes les énergies de l’univers, jaillit la lumière. La lumière d’un avenir libre et beau. Au moins autant qu’un cheval fou qui galope sur les plages de tes émotions nues, la crinière au vent, semblant à elle seule, défier avec force et détermination l’adversité et la tristesse. Car oui ! Jérémy est un cheval un peu fou, mais surtout, c’est un cheval libre. Y’en a même qui disent qu’ils l’ont vu voler. (Cette référence digne de Whitney ne fera rire que la partie du public dont on essaye de se défaire : les fans de chanson française, de mauvais gout de surcroît. Fin de la parenthèse.)
Passons les années « short en éponge » et sautons directement et à pieds joints dans ces années ou les hormones chamboulent le corps, chamboulent l’esprit, et chamboulent surtout le fond du slip des adolescents. A cet âge là, tout est prétexte pour laisser à l’inconscience toute latitude pour flinguer les aspirations carriéristes que de pauvres parents avaient mis dans leur progéniture. C’est ainsi que Jérémy, aidé par un comparse qui le restera au fil du temps, décida se faire de la musique. John Spencer ci-dessous n’y est pas pour rien (à un moment, va falloir écouter le podcast pour savoir pourquoi)
Après, on va pas retaper toute l’histoire du bonhomme, surtout que vous n’auriez plus aucun intérêt à écouter le podcast, alors qu’on est quand-même un peu là pour ça. Allez, ça dure pas si longtemps que ça (Spoiler : c’est faux)
A un moment, on parle du clip de Those Dicks issu de l’album « Captain Boogie » sorti en 2009. Une perle. On en reparlera. Prenez des notes bon sang ! Ou écoutez le podcast !
On vous laisse parcourir les liens en bas de page pour retrouver les pochettes d’albums imaginaires, mais tellement délicieuses. Ah bah oui, on va pas tout faire pour vous, c’est comme ça qu’on fait une génération d’assistés, et vous allez finir par voter PP tellement vous serez devenus bêtes.
Après, on vous avait promis un épisode WTF!!!, mais on s’est retrouvés tellement pris dans les histoires passionnantes du Père Castor Alonzi, qu’on en a oublié de passer de la musique qui font rigoler tes oreilles. On se rattrape sur la fin, et d’ailleurs, voici donc en avant-première, la prestation si surprenante de Leona Anderson qui interpète (il n’y a pas de faute) Habanera de l’Opera Carmen que nous propose si généreusement Jérémy. Parce que oui, il est généreux, Jérémy ! Note importante : Il faut savoir que ce titre est tiré de l’album prophétique tr!s intelligemment nommé « Music to Suffer By« .
Il va sans dire que nous avons choisi la version qui n’offre certes pas la meilleure qualité sonore (de toutes façons, on n’est plus à ça près) mais qui propose des images d’archives qui vous permettront de vous immerger au plus profond de l’univers de cette chère Leona, et peut-être, parviendrez-vous à toucher son âme du bout de vos petits doigts boudinés, et que vous apercevrez la vérité. Si c’est le cas, dites-le nous, parce qu’on aimerait savoir aussi.
Les liens pour parcourir le monde fascinant des internets
On a essayé de vous trouver des liens vers les trucs de Seasick, mais les traces et restes de ce qu’on a trouvé concernait une vie qui n’existait pas encore ou peu sur les Internets Mondiaux et ce qui était n’est plus. Il va sans dire que nous avons vu défiler, devant les yeux ébahis de notre imagination, une kyrielle de choses incroyables et fantastiques à la fois. Cette période de l’humanité doit amèrement regretter de ne pas avoir consigné cette œuvre perdue.
Allez, quelques il reste quelques traces dans le slip des internets ici, là et là et puis là aussi (et là, mais c’est plus pour la forme… une trace, on vous a dit… )
Enchaînons avec ce que le monde a à nous offrir. C’est déjà pas mal en soi.
Rejoignez-nous la semaine prochaine pour la suite de nos aventures trépidantes, mais aussi pour découvrir ce que ce monde a de meilleur à nous offrir. Paix et amour sur vous. Tous. Ah non, pas toi, là; Oui, toi. On aime tout le monde sauf toi. (c’est faux, on n’aime pas tout le monde, mais on doit faire semblant si un jour on veut des subsides)