La fin du milieu du What The Fuck de et avec Jeremy Alonzi. Comme si tu mangeais une pizza, mais plus tard dans la soirée.

Si on devait comparer cet épisode à une saucisse, cette partie serait la deuxième partie du milieu, mais on a déjà fait cette blague.

Il y a des moments dans la vie où toutes les limites de la bienséance ont été outrepassées. Ridiculisées. Anéanties. Coventrisées. Mais on sait tous que toutes ces qualifications ne peuvent s’appliquer à un épisode du Deadbeat Club. Parce que le Deadbeat Club, c’est du raffinement. Du bon goût. L’excellence en matière de bonnes manières et de politesse. D’ailleurs, si vous n’êtes pas d’accord avec nous, c’est que vous n’en avez pas, de bon gout. Ni de raffinement, d’ailleurs. On ne comprend pas trop pourquoi vous nous écoutez. On n’est déjà même pas sur de comprendre pourquoi qui que ce soit nous écoute, mais vous, oui, vous, là, on vous voit… ça nous dépasse. Vous pouvez rester, hein… on met du chauffage, c’est pas pour les chiens. Et donc, bienvenue, asseyez-vous, prenez un verre, et mettez-le sur notre note (on déconne, payez vos consommations et ramassez vos crasses).

Et donc, qu’est-ce qui se passe dans cet épisode ?

Vous n’espérez quand-même pas qu’on vous raconte tout ? Vous doutez quand-même de rien, hein !
Tout ce qu’on peut vous dire, c’est que le livreur de pizza aime « du rap un peu mélangé avec du raï », que François, le voisin de droite de derrière n’a pas répondu à la question, et que tous tes orifices brûlent d’impatience. De quoi ? Tu verras ! Laisse-toi surprendre. Attends plus de la vie. Encore plus ! Ouais, balance la sauce ! Voilà.

La playlist en prend un peu plus à chaque chapitre !

Des trucs que tu trouveras pas sur Spotify, mais qu’on te conseille vraiment

Comme ce documentaire nature :

La déception : comme un gout de promesse non-tenue

On a sans doute le public qu’on mérite, mais, et ne le prends pas mal, cher auditeur-fou, on a aussi les podcasts qu’on mérite. C’est à dire que si tu écoutais La Première ou encore un beau podcast bien pro, sans bavures, net et précis, ben je suis pas sûr que ta vie serait pareille. Après, si ca se met, elle serait mieux. Va savoir.

Toujours est-il que ta déception, petit oiseau, je l’entends jusqu’ici. Ou plutôt je la sens, et c’est pas joli-joli. Tu attends cette vidéo de Boris Johnson qui chante I Will Survive.

Je t’ai vu tressaillir d’excitation. Je t’ai vu te précipiter pour cliquer sur le rectangle rouge (oui, on sait, c’est pas vraiment un rectangle). Mais une fois de plus,; la déception t’a étreint. Elle t’a serré si fort dans ses grands bras flasques et froids que ton sang a décidé de ne plus bouger dans tes artères. Si ta vie devait se terminer là, ça ne t’aurais pas plus ému que ça.

Pour te consoler, voici l’histoire presque complète : Boris Johnson devait démissionner, et surtout convaincre je ne sais plus quelle conseillère ou ministre, ou garde-malade de reste à ses côtés, et il se serait mis à chanter « I Will Survive » de Gloria Gaynor. Est-ce qu’il y a une vidéo de cette performance ? Il semblerait que non, mais surtout, il a signé, persisté, et a mentionné la diva et son tube planétesque à la Chambre des Communes. Est-ce que ça te suffit ? Non ? Alors va manger ton cul.

On sent bien que tu as encore envie de cliquer, alors tiens !

Müholos
Ginger Bamboo
Grand Tournoi International de Chaises Musicales
Cocaine Piss
Sphères Sonores

On t’a déjà dit où écouter tout ça, mais pour t’éviter une tendinite, on remet les liens.