Marc Rebillet – Loop Daddy III (2023)

Enfile ta robe de chambre, sers-toi un brandy, et installe toi dans ta chaise de camping, on te dit tout :

Un petit teasing de ce qu’on en a parlé ? Bien sûr, ça nous fait plaisir. Servez-vous !

L’avis de l’invité

Il semblerait que les peignoirs en satin, ce soit sa came, à Jack. On pense sérieusement à les faire se rencontrer, ces deux là. Bon, musicalement, je sais pas si ils s’entendraient tant que ça, mais au moins, les deux rigoleraient bien.

L’avis de Bobby

Ecouter un album d’un mec qui passe son temps à se filmer en slip dans sa chambre, mais aussi en concert, c’est le choix de Bobby.

Honnêtement, à ce niveau là, on ne cherche même plus à le comprendre… (Bobby, Marc on va en parler)

L’avis de George

Un jour, Bobby finira par comprendre que la soul, ce n’est définitivement pas possible en ce qui me concerne.

Heureusement pour Bobby, Rebillet ne fait pas juste de la soul, il fait plein d’autres choses, comme du rap hardcore et porter de jolis peignoirs. Tellement déjanté qu’il aurait presque pu me faire aimer sa soul. Presque.

L’avis de Kante

Bobby, cet être insondable incompréhensible, imprévisible. Parfois, il est là, mais pas du tout ou tu pensais qu’il était. Par exemple, là, il est à l’ouest. Loin dans le bois. Aux fraises. 

Après nous avoir bien expliqué qu’il détestait la musique faite par des gens qui s’écoutent, que c’était de la branlette. Qu’il détestait tout ce qui approchait de près ou de loin au free jazz et à cette propension qu’ont les gens à faire n’importe quoi, et appeler ça de l’art. 

Force est de constater que Bobby n’applique pas lui-même les grands principes qu’il nous assène à longueur de podcast. 


La playlist de l’épisode

Les liens qui font

SoundCloud de Marc Rebillet
Pilote (Sp)
48FM