Épisode 9 – Celui qui avait un site internet

Rien ne nous y oblige. On n’est pas obligés d’être toujours sur la même longueur d’onde. Cependant, parfois, le hasard nous mène vers le chemin de la raison, et il arrive, tantôt par erreur, tantôt sur un malentendu, tantôt contre notre volonté même, que nous tombions d’accord.

Mais d’accord sur quoi, allez-vous me dire ? C’est assez simple. Le succès international qui frappe à notre porte implique que nous devions communiquer plus efficacement, mais surtout, que nous devions fournir un support didactique et pédagogique pour permettre aux générations futures de mieux comprendre nos civilisations. Enfin… en tous cas, on espère qu’elles riront autant que nous.

C’est donc dans la joie et l’allégresse la plus totale que nous nous gaussons de vous présenter ce joyau de langue française, fourmillant d’accords du participe passé employé avec l’auxiliaire avoir, accords de mots composés et autres emplois du subjonctif plus-que-parfait. Bref, on a mis nos beaux habits et on a brossé nos souliers du dimanche pour l’ocasion (je déconne, je suis en training-t-shirt-sneakers-déchirées)

Vous retrouverez donc ici les liens vers les épisodes du podcast, les articles, liens, recos, playlists et autres joyeusetés que nous vous préparons avec autant d’amour que de haine (il faut le dire, c’est chiant).

Et sinon, cet épisode ?

Autre chose surprenante dans cet épisode, c’est que finalement, on tombe également d’accord sur l’album du plus affreux des affreux. Si il fallait s’attendre à ce que le consensus arrive, nulle n’eut pu imaginer qu’il soit signé de la main à George. Le simple fait de cette évocation chamboule la conception même de l’univers, des choses, tout ça.

Mais ne vous y méprenez pas ! On s’est mis d’accord sur un truc, mais les mauvaise gueules que nous sommes ne pourraient survivre dans un monde de diplomatie et d’avis échaudés, et, dans un élan de lucidité, nous nous sommes rappelés du choix d’album de Alain, et aussi qu’il nous restait un espace d’expression suffisamment vaste que pour y caller aussi une volée de bois vert à destination de T’choupi, l’artiste sélectionné par Whitney.
Bobby a eu le malheur de choisir un ènième opus issu des années deux-milles, mal lui en a pris.
Quant au choix de Kante, sachez qu’il a été plébiscité par Alain. Est-il nécessaire d’aller plus en avant sur le succès de cet album ?

Et si je vous disais qu’on avait saucissonné tout ça en chapitres pour vous faire crorie que c’est court ?
Ça vous fait quoi, d’être pris pour des jambons ?

Ben oui, vous croyez quoi ?
Qu’on a fait court ?
Qu’on s’est bien tenu ?
Ben non, y’en a encore pour 12h de podcast !

Vous êtes prêts ?

Chapitre one : Medeski, Martin & Wood

Chapitre two : Tomahawk

Chapitre truie : Nekfeu

Chapitre four : Evanescence + LCD Soundsystem

Et comme d’habitude, on a pas pu s’empecher de rassembler toutes nos conneries, comme si l’avenir de l’univers en dépendait.

La playlist

Et comme on sait que tu sais pas quoi faire de ta vie une fois que tu nous as écouté (est-ce le contre-coup, est-ce de la tristesse, personne ne le sait réellement), on a fabriqué une playlist avec nos petits doigts.

On a tapoté sur Spotify et on a rassemblé quelques morceaux qui, nous l’espérons, vont égayer ces longues soirées du grand hiver VanLaethemien.

Bisous chez vous.