A la base, il y a la musique. Sans elle le monde, aussi beau soit-il, ne peut vibrer. La musique, c’est le pouls de l’humanité. C’est sa fréquence. C’est ce qui permet au Grand-Tout-Puissant de constater que malgré l’ambiance de merde qui règne en 2022, le cœur de l’Humain bat toujours, qu’il reste un espoir, que tout n’est pas foutu.
Et puis à la base de la base, il y a ceux qui FONT la musique, qui la fabriquent. Ceux qui donnent une excuse même pas nécessaire pour agiter nos synapses et faire se dandiner en nous des molécules d’endorphines en tous genre, et électrisent nos corps exaltants. Oui, je sais c’est très beau, mais c’est ça aussi, la musique, de la beauté.
Alors on est allé causer de création musicale, de résidences d’artistes, du rôle d’un label, de la difficulté d’exister en tant que groupe, de la création de collectifs, de scène musicale locale. On a aussi causé de plein d’autres trucs, mais on va pas tout te raconter, sinon, tu n’iras pas écouter le podcast. Et ça serait dommage, parce qu’on n’a pas bu toutes ces bières pour rien.
Découvrez donc pourquoi nous n’avons pas été interviewer Mario de la StarAc’, mais des gens absolument passionnants comme Seb Von Landau, sorcier de Wyatt E., slip de The K., Ministre chez JauneOrange. Et puis vu qu’on avait un pied dans la porte chez JO, on a aussi invité Yannick, le chauve de la bande (souvent, le mec chauve, c’est le chef) et Max de Hoogd, le démon de Diemen Sniep et aussi cascadeur chez JO. Vu qu’on n’était plus à ça près, on s’est dit qu’une personne incroyable de plus, ça pouvait pas manger de pain, on a aussi invité Christophe Danthinne, Grand Manitou de OYOU (le nouveau nom du Centre Culturel de Marchin) et membre de Showstar (un groupe du millénaire précédent).
Comme cherchait un endroit ou faire ça, on s’est dit qu’on le ferait dans un lieu qui aurait du sens, alors on est allé trouver JF Jaspers, au KulturA. Et vu que le KulturA est un lieu magique, les portes se sont ouvertes. Au ralenti. Avec des myriades de paillettes qui scintillaient. On entendait même des clochettes qui tintaient tellement c’était beau. Bah du coup, on en a profité pour parler du Microfestival aussi.
Pour vous éviter une indigestion et/ou une overdose, comme d’habitude, on a découpé tout ça en chapisodes, épitres, saucissonades, bouchées gourmandes, appelez-ça comme vous voulez, nous, on appelle ça des truckisodes. (ça vient de truc, pas de truck. truck, ça veut dire camion, et ça n’a rien à voir. Pouêt-Pouêt.)
Première partie : les Artistes
Deuxième partie : les labels et les producteurs
Troisième partie : les salles et les festivals, diffusion d’un écosystème local
Cette fois-ci, on n’a pas d’articles fascinants à vous proposer, parce qu’en fait, on avait surtout pas envie de se faire chier à tout retranscrire. Vous allez donc devoir tout écouter si vous voulez savoir.
Cependant, on va vous balancer une kyrielle de liens en tous genres. Si rien de tout ça ne vous inspire quoi que ce soit, nous vous conseillons néanmoins d’imprimer toutes les pages de ces sites pour pouvoir vous chauffer cet hiver, faute de mazout.
NDLR : Le choix de la photo n’est pas innocent. Cette photo, taguée « MusicMakers » par Kante sur Instagram, est une photo de Éosine (artiste JauneOrange) en live à l’Atelier Rock à Huy. C’est le petit hommage de l’équipe du Deadbeat Club au tout frais vainqueur du Concours-Circuit 2022. Félicitations les amis ! Vous le méritez amplement !
Rien que là, on a déjà une brochette d’invités pour la deuxième partie de ce dossier, et qui parlera cette fois de la partie représentation d’artistes et de la programmation. Rendez-vous début 2023 !