S03E08 : Quand on pense que cet épisode ne parle pas de cyclimse

L’été se termine, et il est temps de rentrer à la maison.
Finies les vacances !
Finie la bamboche !
Fini les Spritz !
Bienvenue aux infusions de saindoux-bacon dans la bière.

Pour faire cette transition en douceur et atterrir en toute délicatesse, quoi de mieux que de prolonger un peu notre périple dans le paysage podcastique francophile ? Alors on est remontés dans la bagnole, on a pris l’autoroute du Quai de la Dérivation, direction le Bureau Tempête pour recevoir Jack, l’éminence pas si grise du podcast Pilote. Il parle de séries mieux qu’on ne parle de musique, et c’est d’ailleurs pour ne pas nous faire de la peine qu’il ne parle pas de musique… OHWAITAMINUTE ! Mais c’est faux ! Il parle de musique aussi, le bougre ! Il a animé l’émission Headbangers sur 48FM pendant huit et des années ! Autant dire que côté musique, il en connait un rayon ! (note : penser à utiliser l’expression « connaître la chanson » quand on fera un article sur le cyclimse)

Et donc, on termine l’été en faisant un petit barbecue entre potes (c’est faux, on a mangé des pizzas, comme d’habitude, mais vous avez l’image du feu, du crépuscule, de Frédéric qui reprend les plus grands succès de Jean-Jacques Debout et Hugues Aufray à la guitare).

On a causé du dernier album de Enter Shikari, A Kiss for the Whole World. Mais pas que ! Vous nous connaissez, maintenant… on est aussi venus avec nos albums soigneusement sélectionnés.
Kante a choisi de nous parler de We Lost the Sea et de leur album Triumph & Disaster (et non Departure Songs, hein, Frédéric ?), George présente le dernier Wiegedood, sobrement intitulé There’s Always Blood at the End of the Road. Bobby a quant à lui décidé d’apporter de la gaité et de la légèreté avec le dernier Marc Rebillet, Loop Daddy.