Quand on a invité Jérémy Alonzi pour un épisode du Deadbeat Club, on avait prévu de faire un épisode normal. Avec un album, et les trucs habituels qu’on fait habituellement. Mais il faut savoir que la normalité n’existe pas. Et encore moins avec Jérémy. Ça tombe bien, parce qu’on vous l’a assez répété, on est en train d’essayer de vous proposer des contenus toujours plus sains, toujours plus respectueux de votre cuir chevelu, et surtout, avec 25% de sel en moins. C’est faux. C’est d’ailleurs faux. Ça fait deux fois que j’écris respectueux avec un X. D’ailleurs, j’ai effacé le dernier.
A un moment dans cette histoire, un membre émérite de l’équipe tombe sur Jérémy lors d’une soirée de débauche, et alors que l’un se rendait au bar… à moins que ce soit l’autre… Alors que l’un se rendait au bar, il tomba sur l’autre, et Jérémy (ça, c’est la seule partie de l’histoire dont on soit sûre / dont on se souvienne) a proposé « Hé, ça serait bien qu’au lieu de faire un épisode avec un album, on propose de la musique what the fuck ! Toutes les musiques les plus what the fuck qu’on connaisse ! ». Ce à quoi l’autre inconscient a dit « Oh ouais, excellent, on fait ça, j’en parle aux autres, ça va être top ! ». Ni une ni deux, on était dans une merde noire, parce qu’on ne se rendait pas compte des limites du truc. Limites qui n’existent pas. J’essaye de vous la faire courte, parce qu’il y a eu plein d’autres étapes/idées plus inconscientes les unes que les autres. Vous avez déjà essayé de mettre un pantalon à un poney ? Rejoignez-nous pour une émission qui ne parlera pas de culotte de cheval, et ne donnera pas de conseils minceurs. D’ailleurs, c’est fort bien ainsi, parce qu’au final, Jérémy est un garçon tellement passionnant qu’on aurait pu parler pendant des heures, et qu’on n’aurait pas eu le temps de vous vendre les merdes pour que vous ayez un summer-body pour l’hiver. Ça n’a pas de sens. Notez, on aurait pu, du coup.
Comme d’habitude, pour vous rendre ça plus digeste (et faire durer le plaisir), on a découpé ça vaille que vaille en chapitres que vous allez pouvoir découvrir avec l’impatience qu’on vous connaît (cette phrase n’a pas beaucoup de sens, mais on s’en fout)