Alain, c’est le dirlo. Il fallait bien quelqu’un d’un peu sage pour tenir les murs et empecher la graaaaande maison du savoir musical de s’écrouler sur ses pires énergumènes. Ça ne serait pas très charitable tout ça ! C’est pas parce que ce sont des bras cassés qu’il faut les laisser sur le côté de la route.
Dans la prolongation de cet état de fait, le statut de dirlo a fait son chemin dans nos inconscients, et il se fait que cette idée précise a téléscopé une autre idée bien précise dans nos petits cerveaux : Il est celui qu’on déteste aimer et qu’on adore détester.
Dans le descriptif du podcast il n’a malheureusement retenu et mis en pratique que la partie “mauvaise musique avec bonne foi” *
Mais on ne peut le résumer qu’à cette maladresse. Il peut aussi être précis, ponctuel, organisé, structuré, maniaque, documenté, honnête, factuel.
Clairement on ne peut pas lui enlever ça. Et c’est tout à son honneur hein.
Mais que toutes ses qualités servent à nous présenter les albums qu’il choisit restera à jamais un des mystères à ranger à côté du succès des pizzas hawaïennes, de ceux qu’on ne pourra jamais résoudre. Mais bon c’est aussi pour ça qu’on l’aime notre Alain.
*Théorisé par la formule qui forgera sa légende « Si Alain aime, c’est que ce n’est pas bon »
